Le risque est le dénominateur commun à toutes les situations dans lesquelles nous pouvons un jour nous retrouver. Peu importe ce que vous faites ou ne faites pas, il n’est pas de situation dans laquelle vous n’êtes pas soumis au risque en dehors de la mort. Le risque est un compagnon de vie à côté duquel nous marchons tous et qu’il est impossible de semer, vous connaissez le dicton : “le risque zéro n’existe pas.” En sachant cela, trois chemins de pensée avec trois types de personnes émergent.

Le surprotecteur

Tout d’abord, on trouvera les personnes qui prendront peur et ferons tout ce qui est en leur pouvoir pour éviter le risque et ne jamais s’y confronter. Celles-ci n’oseront jamais rien entreprendre ou se lancer dans l’inconnu et passeront leur existence à craindre que le ciel leur tombe sur la tête. On pourrait les appeler les surprotecteurs

Le prudent averti

Le deuxième type de personne, nous pourrions le qualifier de prudent averti. Ce sont les personnes qui, étant consciente de la présence du risque dans leur projet, prennent les devants et cherchent un moyen de le limiter et de l’anticiper. Pour tous ces gens là, il existe une formation gestion des risques Nord qui peut leur apprendre à identifier les risques potentiels, les classifier et préparer des solutions pour les contrer. C’est la façon d’agir et la méthode de pensée la plus saine et la plus primitive des trois, puisqu’elle permet de ne pas vivre dans la crainte et de ne pas, à l’extrême opposé, vivre dans le risque constant.

Le kamikaze du risque

Ce qui nous amène au dernier type de personne, que l’on pourrait appeler les Kamikaze du risque. Le kamikaze du risque et l’opposé du surprotecteur, étant conscient que le risque nous accompagne partout et à tout instant, il se lance dans tous les projets sans précautions et sans prendre le temps de réfléchir. C’est le type de personne qui se dit que ce qui doit arriver arrivera et voit la vie comme une fatalité sur laquelle on ne peut pas influer.

Évidemment cette classification est un peu grossière et réductrice, mais elle permet de trier la population en 3 catégories et de vous donner une idée du groupe auquel vous appartenez. Rappelons qu’il n’y a pas de bon ou de mauvais groupe, il y a juste des façons différentes de réagir et de voir le monde, chacun de ces modes de fonctionnement possède ses avantages et ses inconvénients.